Chaque année à l’occasion de la journée internationale des droits de femmes, le Départemental du Loiret met en lumière des Loirétaines à travers une exposition photo.
L’art se donnent des Elles

Chaque année à l’occasion de la journée internationale des droits de femmes, le Départemental du Loiret met en lumière des Loirétaines à travers une exposition photo.
Merci à Damien qui est venu nous rendre visite au printemps et qui a réalisé cette petite vidéo pour vous permettre de vous immerger un peu dans notre atelier de modiste.
Contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire le Panama est originaire d’Equateur et son appellation contrôlée.
Peintre animalier depuis une vingtaine d’années et amoureuse de la nature, Odile Laresche a son atelier niché au cœur de la Sologne, dont la nature est une vraie source d’inspiration pour ces créations.
Pour la confection de nos chapeaux et bibis, nous utilisons habituellement plusieurs types de fibres végétales et pailles souvent issus de plantes différentes et provenant pour partie d’Amérique du Sud, d’Asie et parfois d’Europe.
Il y a des rencontres qui font germer des idées… elles prennent le temps de se développer, d’évoluer, de se confronter à d’autres, et un jour…
Elles sont lancées !
Issue d’une collaboration avec mon amie Odile Laresche une collection capsule composée de 9 pièces s’est dessinée et a pris forme à l’atelier durant l’automne.
Pour ce début d’automne, je vous propose un nouvel article sur les matières premières que j’utilise pour confectionner vos chapeaux et accessoires de tête.
Aujourd’hui parlons des « FORMES » aussi appelées « bois », « blocks » (pour nos amis anglophones) ou Hutform/Holzform (en allemand) : pièces indispensables aux modistes et chapeliers pour la mise en forme de chapeaux.
Je ne parle pas ici des presses en aluminium (ou machines à pédale) plutôt utilisées pour les chapeaux réalisés en séries mais des formes en bois réalisées artisanalement par le formier. Il n’existe plus que 2 formiers en France et une poignée en Europe.
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25 ans : Est-ce encore un âge symbolique !
Aujourd’hui être célibataire à 25ans n’a rien d’extraordinaire puisque la majorité des jeunes femmes poursuivent des études et arrivent tout juste dans la vie active. Certaines font aussi le choix volontaire de ce célibat et ne le considère donc pas comme un échec. Alors que dans le passé cet âge avait une forte valeur symbolique pour les femmes encore célibataires.